Le match d’improvisation théâtrale (Mit) est un jeu d’expression qui emprunte aux règles du hockey sur glace et met en scène deux équipes qui doivent improviser sur des thèmes donnés par un arbitre, selon des règles préétablies.
Ce concept original puise sa force dans le mélange du sport et du théâtre. Il constitue une pratique hybride ouvrant sur les champs artistiques, culturels, pédagogiques et socio-éducatifs.
L'histoire veut que le match d’improvisation théâtrale soit né au Québec du constat que les théâtres montréalais se vidaient, alors que les stades de hockey restaient archicombles. C’est au cours d’une soirée d’octobre 1977 que Robert Gravel et quelques amis imaginèrent un jeu d’expression théâtrale détournant les règles du hockey sur glace pour créer cette formule de joute théâtrale.
L’expérience, qui à l’origine ne devait durer que quelques soirs, remporta un tel succès qu’elle se pérennisa deux ans plus tard avec la création de la Ligue nationale d’improvisation.
Petit à petit, le match d’improvisation théâtrale attira de nouveaux adeptes et franchit l’Atlantique. La Ligue d’improvisation française sera créée en 1981.
Dans un premier temps, cette pratique s’est répandue sous la houlette de troupes de comédiens professionnels, comme le Théâtre de l’Unité en France. Mais, très vite, les milieux éducatifs ont saisi l’intérêt d’un tel jeu et en ont fait un outil pédagogique.
Un outil décliné par des comédiens, des animateurs, des éducateurs, des enseignants, des bénévoles, et proposé à des publics très divers : établissements scolaires, milieu carcéral, zones d'éducation prioritaire, formation en entreprise, université…
Tout en imposant un cadre et des règles précises, le match d’improvisation théâtrale crée les conditions d’une expression libre. En acceptant ce cadre et ces règles, le joueur se donne le droit d’exister librement. Mais il devra composer avec l’équipe d’en face. L’enjeu est de construire des histoires, avec mais aussi contre l’autre équipe. Car le public vote à chaque improvisation pour l’équipe qu’il a préférée et, au final, détermine le vainqueur.
Source Ufolep
L'histoire veut que le match d’improvisation théâtrale soit né au Québec du constat que les théâtres montréalais se vidaient, alors que les stades de hockey restaient archicombles. C’est au cours d’une soirée d’octobre 1977 que Robert Gravel et quelques amis imaginèrent un jeu d’expression théâtrale détournant les règles du hockey sur glace pour créer cette formule de joute théâtrale.
L’expérience, qui à l’origine ne devait durer que quelques soirs, remporta un tel succès qu’elle se pérennisa deux ans plus tard avec la création de la Ligue nationale d’improvisation.
Petit à petit, le match d’improvisation théâtrale attira de nouveaux adeptes et franchit l’Atlantique. La Ligue d’improvisation française sera créée en 1981.
Dans un premier temps, cette pratique s’est répandue sous la houlette de troupes de comédiens professionnels, comme le Théâtre de l’Unité en France. Mais, très vite, les milieux éducatifs ont saisi l’intérêt d’un tel jeu et en ont fait un outil pédagogique.
Un outil décliné par des comédiens, des animateurs, des éducateurs, des enseignants, des bénévoles, et proposé à des publics très divers : établissements scolaires, milieu carcéral, zones d'éducation prioritaire, formation en entreprise, université…
Tout en imposant un cadre et des règles précises, le match d’improvisation théâtrale crée les conditions d’une expression libre. En acceptant ce cadre et ces règles, le joueur se donne le droit d’exister librement. Mais il devra composer avec l’équipe d’en face. L’enjeu est de construire des histoires, avec mais aussi contre l’autre équipe. Car le public vote à chaque improvisation pour l’équipe qu’il a préférée et, au final, détermine le vainqueur.
Source Ufolep
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